Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Barbudo Conexión (c)
18 mai 2004

Joli

« Je dois conclure, par manque de temps,

mais j'ajouterai une dernière observation.

Il arrive à l'homme, parfois, de s'en prendre aux droits

des autres, de s'emparer de leurs biens, de menacer la vie

de ceux qui défendent leur nationalité, de faire passer

les plus hautes vertus pour des crimes et de donner

à ses propres vices le lustre de la véritable vertu.

Mais il est une chose que ne peuvent atteindre

ni le mensonge ni la perfidie,

c'est le terrible verdict de l'Histoire.

C'est elle qui nous jugera. »

Benito Juárez à Maximilien de Habsbourg, en

réponse à une lettre confidentielle où Maximilien

lui propose une négociation secrète et de

prendre part à son gouvernement.

 

(Cité par le Sous-Commandant Marcos dans un communiqué du 3 décembre 1994 intitulé « Bienvenue au cauchemar, Monsieur Zedillo ». ¡ Ya Basta ! tome II ; éditions Dagorno)

 

Publicité
Publicité
Commentaires
P
Qu'est ce que c'est que cette merde! J'ai l'impression que mon commentaire n'a pas été enregistré. Du coup, je l'ai tapé 2 fois. Quelle merde ce beulogue!
P
Alors, cher ami, Je tiens tout d'abord à dire que je connaissais déjà cette citation pour l'avoir découverte dans mes lectures liées à mes études d'histoire. Et je la trouve d'ailleurs très belle. Mais, par honnêteté intellectuelle, je me dois de faire une très légère rectification. Il s'agit bien d'une citation de Benito Juarez, premier président du Mexique indépendant. Mais le destinataire n'est pas Maximilien de "Hambourg" mais Maximilien de "Habsbourg", héritier de la couronne impériale autrichienne et installé sur le trône d'un éphémère empire du Mexique avec l'aide des troupes françaises.
P
Alors, cher ami, je dois d'abord dire que je connaissais déjà cette citation pour l'avoir découverte au cours d'une lecture dans le cadre de mes études d'histoire. Et je la trouve, ma foi très belle. Mais je tenais à faire une très légère rectification. Le problème, c'est que je ne sais pas si l'erreur provient du sous-commandant Marcos ou si c'est toi qui l'a mal recopiée. En fait, il s'agit bien d'une citation de Benito Juarez, premier président du Mexique indépendant. Mais le destinataire n'est pas Maximilien de "Hambourg" mais Maximilien de "Habsbourg", héritier de la couronne impériale autrichienne et qui fut installé sur le trône d'un éphémère empire du Mexique avec l'aide de la France de Napoléon III.
B
Pourquoi personne ne commente cette citation?<br /> Je l'aime bien, moi!<br />
Publicité