Joli
« Je dois conclure, par manque de temps,
mais j'ajouterai une dernière observation.
Il arrive à l'homme, parfois, de s'en prendre aux droits
des autres, de s'emparer de leurs biens, de menacer la vie
de ceux qui défendent leur nationalité, de faire passer
les plus hautes vertus pour des crimes et de donner
à ses propres vices le lustre de la véritable vertu.
Mais il est une chose que ne peuvent atteindre
ni le mensonge ni la perfidie,
c'est le terrible verdict de l'Histoire.
C'est elle qui nous jugera. »
Benito Juárez à Maximilien de Habsbourg, en réponse à une lettre confidentielle où Maximilien lui propose une négociation secrète et de prendre part à son gouvernement.
(Cité par le Sous-Commandant Marcos dans un communiqué du 3 décembre 1994 intitulé « Bienvenue au cauchemar, Monsieur Zedillo ». ¡ Ya Basta ! tome II ; éditions Dagorno)