Harlan Coben : Juste un regard
Bon.
Nouvelle séance post-lecture...
Cette fois-ci, Juste un Regard de Harlan Coben.
Le premier exemplaire, je l'avais fait dédicacer par Coben himslef pour Loris, qui m'avait fait découvrir le gars et ses bouquins.
Mais ce con a trouvé le moyen de se le faire voler trois jour plus tard, à 20 pages de la fin.
Du coup moi j'ai eu le deuxième exemplaire, acheté puis prêté par mon pote.
Vous me direz : fondamentalement, ça ne change rien et on s'en fout complètement.
Et vous aurez fondamentalement raison.
Je passe, donc.
Alors bon.
Le bouquin.
Contrairement à ce que j'avais cru comprendre, on n'y retrouve pas Myron Bolitar et son pote balèze, les personnage de son dernier (?) roman (Rupture de Contrat). Mais ça ne saurait tarder.
L'histoire est encore une fois trèèèèès bien ficelée ; je n'ai vraiment pas vu venir le retournement de situation final. C'est plutôt rare.
Et cette fois-ci, Harlan Coben a changé de scénario.
C'est le seul truc que j'avais à lui reprocher : dans les trois romans précédents, il partait à chaque fois avec un point de départ identique : une personne qu'on croyait morte ne l'était pas. D'où un bordel sans nom et sujet de choix pour un roman.
Pas trois.
Quoique ça n'était pas trop gênant, vu que les histoires restaient très différentes et bien écrites.
Mais bon. Sur le principe, je trouvais ça un peu facile.
Là pas du tout.
Et c'est tant mieux.
Là non-plus, je ne raconte pas l'histoire ; ce serait e toute façon trop compliqué, vu qu'y'a pas mal de personnages et d'époques différents.
Que vous appréciez déjà Harlan Coben ou que vous ne le connaissiez pas encore, vous pouvez l'acheter les yeux fermés ; bien que ça n'aide pas trop pour lire.